La guérilla des Farc renonce aux enlèvements de civils en Colombie
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La guérilla des Farc renonce aux enlèvements de civils en Colombie
Les Farc ont annoncé dimanche l'abandon du recours aux enlèvements au sein de la population civile en Colombie, un tournant dans l'histoire de cette guérilla fondée il y a près d'un demi-siècle, même si le gouvernement de Bogota juge ce geste encore insuffisant.
Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) ont officiellement mis fin aux séquestrations de civils et promis la libération de tous les otages issus des forces de l'ordre, dans un message de leur commandement diffusé en début d'après-midi sur son site internet (http://www.farc-ep.co" onclick="window.open(this.href);return false;).
"On a beaucoup parlé des séquestrations de personnes, hommes et femmes issus de la population civiles, que nous, les Farc, avons effectué à des fins financières pour le soutien de notre lutte", indiquent-elles en préambule.
"Nous annonçons qu'à compter de cette date, nous interdisons ces pratiques dans le cadre de notre combat révolutionnaire", poursuit l'organisation d'obédience marxiste, à l'origine un mouvement paysan en rébellion depuis 1964.
"L'heure est venue de commencer à clarifier qui se livre à la pratique des enlèvements et dans quels buts", ajoutent les Farc, dont le nombre d'otages civils est estimé à plusieurs centaines.
Cette annonce constitue un changement de cap pour la principale guérilla du pays, la plus ancienne d'Amérique latine, qui compte encore 9.000 combattants, selon le gouvernement.
Elle intervient près de dix ans jour pour jour après la rupture des pourparlers de Caguan, du nom de la zone démilitarisée dans le sud du pays, où se déroulèrent les seules négociations de paix engagées avec les autorités.
Le président colombien Juan Manuel Santos a réagi en évoquant un "pas important" mais "pas suffisant", sur son compte Twitter.
"Nous approuvons l'annonce des Farc de renoncer aux enlèvements comme un pas important et nécessaire, mais ce pas qui est fait dans la bonne direction n'est pas suffisant", a dit le chef de l'Etat, qui exige la fin des attaques et la libération de tous les otages.
Confrontée à une traque militaire sans répit, la guérilla, dont les effectifs ont été divisés par deux en dix ans, a essuyé de sérieux coups durs, comme la perte de son principal otage, la sénatrice franco-colombienne Ingrid Betancourt, libérée par l'armée en juillet 2008.
Elle a aussi encaissé de nombreux revers militaires, dont la mort de son chef militaire Jorge Briceño en 2010, puis celle de son numéro un Alfonso Cano l'an dernier.
Chassés des villes, les rebelles, qui tirent de plus en plus leurs revenus du trafic de cocaïne, se sont repliés dans les régions montagneuses ou dans la jungle, où sont détenus encore une dizaine de policiers et militaires.
Les Farc se sont également engagées, dans leur déclaration de dimanche, à relâcher unilatéralement ces dix otages, comptant jusqu'à douze ans de captivité.
En décembre, la guérilla avait déjà promis d'en libérer six, un mois après avoir suscité une nouvelle vague d'indignation en assassinant quatre militaires séquestrés durant des combats avec l'armée.
Plus récemment, la communauté internationale avait unanimement condamné début février deux attentats à la voiture piégée qui avaient fait 15 morts et une centaine de blessés, notamment des civils.
L'objectif des Farc avait toujours été jusqu'ici d'échanger ses otages dit "politiques", par opposition aux civils, contre des guérilleros incarcérés, option régulièrement exclue par le pouvoir.
Dans leur message dimanche, les Farc ont à nouveau demandé au gouvernement d'"envisager sérieusement une autre sortie" au conflit que celle de l'option militaire.
Les rebelles, tout comme les autorités, semblent au moins s'accorder sur un point, celui d'accepter la médiation du Brésil, qui a déjà fourni des hélicoptères, pour aller chercher des otages lors de précédentes libérations.
Source: http://actu.orange.fr/monde/la-guerilla ... 04096.html
Les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) ont officiellement mis fin aux séquestrations de civils et promis la libération de tous les otages issus des forces de l'ordre, dans un message de leur commandement diffusé en début d'après-midi sur son site internet (http://www.farc-ep.co" onclick="window.open(this.href);return false;).
"On a beaucoup parlé des séquestrations de personnes, hommes et femmes issus de la population civiles, que nous, les Farc, avons effectué à des fins financières pour le soutien de notre lutte", indiquent-elles en préambule.
"Nous annonçons qu'à compter de cette date, nous interdisons ces pratiques dans le cadre de notre combat révolutionnaire", poursuit l'organisation d'obédience marxiste, à l'origine un mouvement paysan en rébellion depuis 1964.
"L'heure est venue de commencer à clarifier qui se livre à la pratique des enlèvements et dans quels buts", ajoutent les Farc, dont le nombre d'otages civils est estimé à plusieurs centaines.
Cette annonce constitue un changement de cap pour la principale guérilla du pays, la plus ancienne d'Amérique latine, qui compte encore 9.000 combattants, selon le gouvernement.
Elle intervient près de dix ans jour pour jour après la rupture des pourparlers de Caguan, du nom de la zone démilitarisée dans le sud du pays, où se déroulèrent les seules négociations de paix engagées avec les autorités.
Le président colombien Juan Manuel Santos a réagi en évoquant un "pas important" mais "pas suffisant", sur son compte Twitter.
"Nous approuvons l'annonce des Farc de renoncer aux enlèvements comme un pas important et nécessaire, mais ce pas qui est fait dans la bonne direction n'est pas suffisant", a dit le chef de l'Etat, qui exige la fin des attaques et la libération de tous les otages.
Confrontée à une traque militaire sans répit, la guérilla, dont les effectifs ont été divisés par deux en dix ans, a essuyé de sérieux coups durs, comme la perte de son principal otage, la sénatrice franco-colombienne Ingrid Betancourt, libérée par l'armée en juillet 2008.
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Chassés des villes, les rebelles, qui tirent de plus en plus leurs revenus du trafic de cocaïne, se sont repliés dans les régions montagneuses ou dans la jungle, où sont détenus encore une dizaine de policiers et militaires.
Les Farc se sont également engagées, dans leur déclaration de dimanche, à relâcher unilatéralement ces dix otages, comptant jusqu'à douze ans de captivité.
En décembre, la guérilla avait déjà promis d'en libérer six, un mois après avoir suscité une nouvelle vague d'indignation en assassinant quatre militaires séquestrés durant des combats avec l'armée.
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Source: http://actu.orange.fr/monde/la-guerilla ... 04096.html
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Farc anuncia que abandonará el secuestro y que liberará a los 10

Uno de los liberados será Jorge Trujillo Solarte, de Gamarra, Cesar.
El abandono de la práctica del secuestro en el país y la libertad de manera conjunta a los diez militares y policías que siguen en su poder como secuestrados, anunciaron ayer las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia, Farc.
El Secretariado del Estado Mayor Central del grupo rebelde envió un comunicado oficial que fechó en las “montañas de Colombia” y divulgó por su sitio en Internet.
Se lee en el documento que “anunciamos también que a partir de la fecha proscribimos la práctica de ellas (las retenciones de personas) en nuestra actuación revolucionaria” y anotaron que la decisión los obliga a derogar una ‘ley’ rebelde de 2000 sobre su financiación con el secuestro de civiles.
Precisamente, una de las peticiones que el colectivo Colombianos y Colombianas por la Paz, CCP, encabezado por la excongresista Piedad Córdoba, les había formulado de manera reiterativa a los rebeldes era que dejaran a un lado la práctica del secuestro.
Las Farc precisaron, en la misma declaración, que han aceptado liberar a los 10 militares y policías que mantiene cautivos, y no solo a los seis que había comunicado previamente. Estos 10 plagiados, todos ellos con más de 12 años en cautiverio, son los últimos que les quedan a los insurgentes como rehenes.
La guerrilla pidió a la portavoz de los familiares de secuestrados, Marleny Orjuela, que “acuda a recibirlos en la fecha acordada”.
Los rehenes por liberar serán los militares Luis Beltrán, Luis Arcia, Róbinson Salcedo y Luis Moreno, y los policías Carlos José Duarte, César Lasso, Jorge Trujillo (del Cesar), Jorge Romero, José Libardo Forero y Wilson Rojas Medina.
“Es insuficiente”
El presidente Juan Manuel Santos consideró “insuficiente” la decisión de la guerrilla de las Farc de proscribir la práctica del secuestro con fines financieros. “Valoramos el anuncio de las Farc de renunciar al secuestro como un paso importante y necesario, pero no suficiente en la dirección correcta”, expresó Santos en su cuenta de Twitter tras conocer la decisión de los rebeldes. “Nos alegramos mucho por ellos, los diez secuestrados que van a liberar y por sus familias. El Gobierno dará garantías sin circo mediado”, apuntó Santos.
Fuente: http://www.elheraldo.co/noticias/nacion ... s-10-58290
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No a secuestros, pero sí a la guerra: Farc atacan en Caldono y Putumayo

Cauca es el departamento donde las Farc siguen cometiendo más acciones terroristas.
Por José Granados Fernández
Cuando el país apenas comenzaba a generar algo de confianza en torno al anuncio de las Farc de que liberará a los últimos diez uniformados que están en su poder, el grupo armado ilegal desató ayer una serie de ataques sobre la población civil que ponen en duda, una vez más, sus deseos de paz.
A eso de las tres de la madrugada, la columna móvil Jacobo Arenas, desde las montañas circundantes, atacó la población de Caldono, Cauca. “Con fuego de francotiradores y otros artefactos, han disparado contra la población”, dijo el general Óscar Naranjo, director de la Policía.
Habitantes de esa municipalidad informaron que unas diez casas, en el sector de la plaza, fueron dañadas. Dos militares resultaron heridos con los explosivos lanzados por los sediciosos. “El combate más fuerte se dio como a las siete de la mañana”, explicaron. La Fuerza Aérea informó que aviones de combate atacaron a los guerrilleros quienes se replegaron a la zona selvática.
Desde Popayán, luego de un consejo de seguridad, el presidente Juan Manuel Santos anunció que aumentarán el pie de fuerza. Y dijo que Policía y Ejército van a actuar con más agresividad.
Otro ataque de las Farc tuvo lugar en El Tarra, Norte de Santander, donde seis civiles, entre ellos un niño, resultaron heridos al ser detonada una bomba que iba dirigida contra el comando de la Policía de esa localidad.
Mientras en Bogotá el CICR y Colombianos por la Paz revisaban el protocolo para la posible liberación, en Putumayo, zona rural de Puerto Guzmán, murieron en una emboscada cuatro militares de la vigésima séptima brigada. El Ejército dijo que el resguardo de Calenturas fue usado como escudo por las Farc.
Crítica de Uribe
En varios mensajes por Twitter, el expresidente Álvaro Uribe calificó como un engaño el anuncio de las Farc, le dijo al gobierno Santos que no celebre y exija la liberación de todos los secuestrados. También dijo que el “protector en Venezuela” de la guerrilla está “feliz cuando los terroristas se visten en piel de oveja”.
Fuente: http://www.elheraldo.co/noticias/nacion ... mayo-58421
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